"TReBREIZH : La Téléradiologie au Service de l’Intégration Public-Privé et de la Qualité des Soins en Bretagne"

 

"TReBREIZH : La Téléradiologie au Service de l’Intégration 
Public-Privé et de la Qualité des Soins en Bretagne"

 

 

 

Dans un contexte de pénurie de radiologues, la téléradiologie émerge comme une solution innovante pour maintenir la qualité des soins. L'interview avec les Docteurs Morcet et Eugene, acteurs clés du projet TReBREIZH, dévoile les enjeux et les bénéfices de cette initiative unique en Bretagne. Ils partagent leur vision d'une téléradiologie complémentaire, visant à renforcer la présence physique des radiologues et à faciliter la collaboration entre les secteurs public et privé. En mettant l'accent sur la fiabilité diagnostique et l'homogénéité des pratiques, TReBREIZH s'efforce de répondre aux besoins régionaux tout en assurant une prise en charge optimale des patients.

 

Quelle est la nature de la téléradiologie et en quoi améliore-t-elle la pratique radiologique ?

Dr Morcet : “La téléradiologie, de notre point de vue, est un outil permettant de pallier le manque de radiologues physiquement présents dans les structures médicales. Contrairement à la pratique standard, notre objectif est de maintenir la présence des radiologues dans ces établissements de soins. La téléradiologie est sollicitée uniquement lorsque leur présence physique n'est pas possible.”

Dr Eugene : “Il s'agit essentiellement d'un "pansement" sur les difficultés démographiques rencontrées dans le domaine médical.”

Dr Morcet : “Exactement. Ce qui peut nous distinguer des autres solutions de téléradiologie, est que notre priorité est de préserver une offre de soins par la présence physique des radiologues. Nous cherchons à faciliter l'intégration des équipes radiologiques dans les structures de santé. C'est là l'essence même de notre démarche.”

Dr Eugene : “Notre idéal serait de ne plus avoir besoin de TReBREIZH, lorsque nous disposerons d'un nombre suffisant de radiologues physiquement présents. Pour participer à TReBREIZH, il est nécessaire d'être déjà établi quelque part, que ce soit dans un centre d'imagerie médicale public ou privé, avec une activité représentant au moins la moitié du temps dans une structure physique.”

 

Quels sont les bénéfices des outils à votre disposition en termes de précision diagnostique pour vos radiologues ?

Dr Morcet : “Avant d'adopter Telemis, nous rencontrions des difficultés avec d'autres solutions concurrentes, notamment en raison de problèmes de visualisation d'images liés à leur infrastructure en cloud. Cependant, depuis que nous avons migré vers Telemis, étant donné que la majorité des utilisateurs de TReBREIZH travaillent déjà avec cet outil, la visualisation des images s'est grandement simplifiée. Cela se traduit effectivement par une facilité du processus diagnostique.”

Dr Eugene : “Plutôt que de parler de précision diagnostique, je préfère évoquer la fiabilité du diagnostic. L'intégration préalable de TELEMIS en Bretagne a renforcé la fiabilité de nos diagnostics.”

Dr Morcet : “De manière corollaire, l'utilisation de Telemis présente un avantage significatif en nous offrant un environnement de travail en téléradiologie similaire à celui que nous utilisons en présentiel dans nos établissements.

Nous travaillons avec Telemis pour nos activités à l'hôpital ou dans des cabinets de radiologie privés, utilisant cet outil pour nos propres patients. Lorsque nous passons à la plateforme TReBREIZH, nous continuons d'utiliser la même plateforme Telemis. Cette cohérence dans notre environnement de travail est d'une importance capitale.”

 

En quoi l'utilisation de la solution favorise-t-elle la collaboration entre le secteur public et privé, et quelles sont les implications de cette collaboration pour les utilisateurs ?

Dr Morcet : “Ce qui nous distingue, c'est notre volonté de mettre en place une coopération entre le secteur public et privé au niveau territorial, étant donné que nous partageons tous le même bassin de population de patients. Nous avons tous le même objectif : recruter des radiologues pour nos différentes structures. Nous savons que la possibilité de recourir à la téléradiologie est cruciale pour attirer de nouveaux radiologues.

C'est pourquoi nous avons réfléchi ensemble pour trouver une structure juridique permettant de travailler en coopération, dans l'intérêt des patients, qu'ils proviennent d'établissements publics ou privés. 

Nous avons ainsi créé un Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) de droit privé, ce qui facilite considérablement notre fonctionnement. Notre administration bicéphale est composée d'un administrateur (représentant du centre privé) et d'un administrateur adjoint (représentant des centres publics), ainsi que des collèges décisionnels. 

Ces collèges comprennent d'une part les requérants, regroupés dans un Plateau d'Imagerie Médicale Mutualisé (PIMM) pour les établissements publics, et d'autre part les centres d'imagerie médicale libéraux. Au niveau des prises de décisions, chaque collège dispose d'un poids égal dans le vote, avec un partage de 50/50.

Nous avons une réelle volonté que les décisions soient prises de manière partagée et que chaque collège ait un poids équivalent dans le processus décisionnel. Cette collaboration nous a également permis de mettre en place un comité médical où nous échangeons sur nos méthodes de travail. Cela nous permet, en tant que collègues du secteur privé et public, de partager nos pratiques et d'harmoniser nos protocoles. Au-delà de son utilisation pour la téléradiologie, l'outil TReBREIZH nous a permis de renforcer nos liens et de développer un réseau entre nous.”

 

Donc, pour vous, cet aspect représente-t-il véritablement l'impact principal du projet entre les établissements de santé dans toute la Bretagne ?

Dr Morcet : “Pour le moment, oui. Nous avons opté pour un démarrage prudent afin d'assurer une bonne adéquation entre le nombre de demandes des établissements requérants et le nombre de radiologues disponibles. Actuellement, nous couvrons les territoires T5, T6 et T7. Notre objectif est de favoriser la communication et les échanges pour développer TReBREIZH dans toute la région. Pour l'instant, ces régions fonctionnent bien dans la routine quotidienne.”

Dr Eugene : “Il s'agit également de la construction d'une confiance mutuelle entre deux univers. Au début, il y avait peut-être une certaine distance, voire une méfiance réciproque. Cependant, au fil du temps et de notre collaboration, cette confiance s'est établie. Cette histoire illustre comment, lorsque les deux parties se font confiance, des projets à long terme peuvent être réalisés. Cela crée une zone de convergence où le secteur privé et public collaborent pour le bien des patients. En évitant de cloisonner ces deux mondes, nous en tirons profit pour nos patients.”



Pourriez-vous nous donner un aperçu des retours reçus concernant l'utilisation de l’outil ?

Docteur Morcet : “Avant Telemis, nous rencontrions  des  difficultés pour la visualisation des examens et la récupération des antériorités. Actuellement ces problématiques sont à la marge. De plus, nous avons constaté que les pratiques variaient d'une structure à une autre, qu'elle soit publique ou libérale. Certains sites affectaient un radiologue spécifiquement pour la vacation de téléradiologie, tandis que pour d’autres c’était les radiologues assurant déjà leur activité en présentielle qui effectuaient en parallèle  leur interprétation pour TReBREIZH.

Aussi, parfois, il était difficile pour les requérants de nous contacter. Nous avons donc reçu des retours négatifs à ce sujet. La mise en place d'un régulateur a été un travail important pour fluidifier ces processus et les préparer à l'avance. Cette tâche est désormais secondée par une autre personne, ce qui réduit considérablement le nombre de ces retours négatifs.

Nous avons encore des progrès à faire en ce qui concerne l'engagement à fournir des interprétations dans les 48 heures. Parfois, nous dépassons légèrement ces délais, car nous sommes occupés par d'autres tâches et nous ne pensons pas toujours à traiter les examens en attente. Il est important de noter que nous ne faisons que des examens programmés, sans consultation directe de spécialistes par exemple. Nous devons donc être vigilants à ce niveau. En ce qui concerne la qualité de nos comptes rendus, je pense que les requérants sont satisfaits. Nous nous efforçons également de confier l'interprétation des examens à des spécialistes en fonction de leurs compétences.”



C’est là l'idée fondamentale de votre organisation, n'est-ce pas ? À savoir, garantir une interprétation réalisée par un spécialiste dans un domaine spécifique pour chaque examen.

Dr Eugene : “Peut-être pas pour tous les cas, mais il existe des critères généraux acceptés pour tous les radiologues, que ce soit pour les radiographies standards ou les tomodensitométries abdomino-pelviennes (TAP). Cependant, dans certains cas, notre objectif est effectivement d'assurer une qualité optimale. Je pense que l'important réside vraiment dans la qualité et la proximité du service. Nous nous efforçons de fournir une interprétation spécialisée autant que possible. En termes de proximité, il m'arrive de recevoir des courriels concernant un examen que j'ai interprété pour un hôpital voisin. 

Dans ces cas-là, ils peuvent demander des compléments d'information, des explications supplémentaires, ou même envisager immédiatement une prise en charge au CHU pour le patient. Je considère cela comme un retour positif.

Le seul point où nous rencontrons parfois des difficultés, c'est que notre approche diffère quelque peu de celle des sociétés de téléradiologie commerciale. Il arrive, par exemple, que nous refusions des examens lorsque nous savons qu'une interprétation antérieure a déjà été réalisée et qu'elle répond suffisamment à la question posée.”

 

Votre approche, que vous évoquez en termes de qualité et de proximité, est-elle à la fois à l'origine de votre projet et sa raison d'être ?

Dr Morcet : “Parfois, nous recevons des examens pour lesquels il n'y a pas de prescription médicale, surtout en ce qui concerne l'imagerie standard. Dans ces cas-là, sans prescription, pas d'interprétation, pas d'ordonnance. C'est une manière de montrer que notre objectif n'est pas de réaliser des actes médicaux. En ce qui concerne la proximité, nous privilégions en effet une approche territoriale. Les requérants nous connaissent. Ils peuvent mettre des visages sur des noms. Ce n'est pas un radiologue anonyme, situé quelque part loin, qui effectue l'interprétation.”

 

En fait, pour vous, la téléradiologie n'est pas un objectif en soi, mais plutôt un moyen de fournir une prise en charge plus complète, étendue et de qualité au niveau régional pour les patients ?

Dr Eugene : “Peut-être pas nécessairement "plus" complète, mais plutôt "plus étendue", comme nous le disions au début, car il existe un besoin. Notre intention est simplement de répondre à ce besoin. Idéalement, nous préférerions qu'il y ait des radiologues présents dans ces établissements de santé. Cependant, il est indispensable de garantir une offre de soins, et donc nous nous efforçons de combler ce besoin en nous appuyant sur chaque acteur, qu'il soit public ou privé. Cela rend la situation plus accessible et réalisable pour les patients, plutôt que de devoir fermer des structures.”

 

 

 



Ce qui est remarquable dans l'approche de TReBREIZH, c'est son caractère agnostique, qui mêle le secteur public et privé tout en renforçant l'aspect régional. Le nom lui-même illustre bien cet objectif.

Dr Morcet : “Oui, comme nous le disions précédemment, la téléradiologie est davantage un pansement, comme l'a souligné mon collègue. Dans l'idéal, nous préférerions ne pas avoir besoin de ce genre de solutions. Si un jour TReBREIZH n'est plus nécessaire parce qu'il y a suffisamment de radiologues, nous en serons très heureux. Nous avons également durci les critères d'intégration des radiologues. Par exemple, un radiologue qui ne fait que des remplacements ne pourra pas participer à l'activité de TReBREIZH. Il est impératif d'avoir une activité minimale en présentiel dans une structure pour y accéder. De plus, nous exigeons qu'ils aient une expérience et une pratique quasi quotidienne de l'imagerie en coupe dans leur établissement.”

 

 

Vous leur demandez donc essentiellement une implication dans l'imagerie de coupe sur le territoire en présentiel comme conditions préalables pour rejoindre TReBREIZH ?

Dr Eugene : “Oui, car nous avons remarqué qu'en tant que radiologue pratiquant en présentiel, il est conscient des tâches supplémentaires telles que le tri des demandes, la vérification des allergies, etc. En revanche, lorsque l'on pratique uniquement la téléradiologie, tout semble préparé et prêt à être interprété. Cependant, en réalité, en amont, il y a eu tout un travail de tri et de vérification qui a été fait. C'est ce que les radiologues en présentiel connaissent bien. Donc, le prérequis pour rejoindre TReBREIZH est d'avoir une expérience dans cette partie-là. Sans cette expérience, on ne réalise pas entièrement le travail d'un radiologue.”

 

Donc, TReBREIZH n'est pas une opportunité ?

Dr Eugene : “Exactement. Un autre aspect à considérer en termes de qualité concerne les demandes de relectures émanant parfois des établissements périphériques, notamment de certains GHT, qui sont des hôpitaux généraux, pour ainsi dire, rattachés au CHU. Il arrive parfois qu'il n'y ait pas de radiologue ou que les radiologues disponibles ne soient pas ancrés dans le territoire. Dans ces cas-là, de nombreux cliniciens du CHU demandaient des relectures d'imageries déjà interprétées, ce qui était assez chronophage pour nous.

 De plus, il n'y a pas de facturation ni de temps dédié à cela. En mettant en place TReBREIZH dans ces hôpitaux, nous avons pu réduire le nombre de relectures effectuées par les radiologues du CHU. De plus, les techniciens pneumologues du CHU connaissent les radiologues ayant interprété les examens au sein de TReBREIZH. En fin de compte, cela contribue à une meilleure fiabilité et qualité du service. Ce sont de petites améliorations, mais qui ont tout de même leur importance.”

 

L’activité en nombre d’interprétations de TReBREIZH est-elle en croissance ? Se stabilise-t-elle ?

Dr Morcet : “Actuellement, elle est stable car nous n'avons pas intégré de nouveaux requérants. Pour pouvoir en accepter de nouveaux, il faut qu'ils aient suffisamment de téléradiologues requis. Nous sommes donc dans une phase de routine. Nous espérons que l'arrivée de Telemis rendra nos télé-radiologues beaucoup plus satisfaits de notre outil. Auparavant, en raison des difficultés rencontrées, beaucoup étaient découragés. Désormais, nous n'avons plus cet obstacle de lenteur. L'outil Telemis nous permettant d'interpréter les examens dans d'excellentes conditions en attire un nombre croissant. Cependant, nous sommes tous très sollicités dans nos propres activités en présentiel. Étant donné la démographie, il n'y a pas de plus en plus de radiologues, donc nous devons rester prudents. Avant d'intégrer de nouveaux requérants, nous devons nous assurer que nous pouvons répondre à la demande.”

 

Pour rebondir sur l’outil Telemis, pourriez-vous nous donner votre avis sur l'installation du programme au sein de votre établissement ?

Dr Morcet : “En ce qui concerne l'installation, je dois dire que vous excellez chez Telemis. La partie installation de vos équipements est vraiment bien gérée. Dès que vous décidez d'installer quelque chose, nous savons que cela sera fait, nous pouvons vous faire confiance. Nous utilisons Telemis depuis de nombreuses années en dehors de TReBREIZH, et nous avons toujours bénéficié d'un bon accompagnement pour les mises à jour et autres aspects techniques. Nous n'avons pas rencontré de difficultés majeures à ce niveau. 

Les difficultés surviennent plutôt en amont, lorsqu'il s'agit de signer les conventions et de gérer les aspects administratifs et politiques. Mais une fois que ces points sont réglés, je pense que tout se déroule très rapidement de votre côté.”

 

Dans un de vos posts LinkedIn, j'ai remarqué que vous mettiez en avant le rapprochement entre la ville et l'hôpital, la spécialisation et la proximité des interprétations. Pourriez-vous approfondir ce point ?

Dr Eugene : “Ce rapprochement a réuni deux univers, celui du secteur privé et celui du secteur public. Et, de manière concrète, je pense qu'il y a un avantage évident pour les patients à avoir une base commune d'images. Tous ceux qui participent à TReBREIZH ont accès aux examens qui ont été réalisés. Il est possible de rechercher des antécédents d’imageries au sein de TReBREIZH. Pour les patients, cela signifie également qu'ils sont orientés vers les bonnes filières de soins. Par exemple, si une patiente bénéficie d’une imagerie dans le cadre de TReBREIZH, interprétée par une radiologue spécialisée dans l'imagerie de la femme, comme celui du CIM Les Cèdres, et qu'elle diagnostique une endométriose, il est probable qu'elle soit rapidement orientée vers les soins appropriés. En fin de compte, c'est un bénéfice pour les patients. Ces rapprochements entre la ville et l'hôpital ne sont pas simplement des concepts abstraits, mais se traduisent par des avantages concrets.”

 

Peut-on discuter de la mise en place du PIMM ?

Dr Eugene : “Nous ne sommes pas les premiers à mettre en place un PIMM en France. Ce qui est innovant avec TReBREIZH, c'est ce partenariat au sein d'une même entité du GCS de TReBREIZH, où les deux parties ont une valeur égale dans les choix et les décisions. Le PIMM a été un moyen que nous avons utilisé pour rendre cette charge supplémentaire attrayante. En réalité, TReBREIZH, que ce soit dans le secteur privé ou public, ajoute une petite charge de travail supplémentaire à chacun d'entre nous chaque semaine. Mais pour rendre cette charge attrayante pour des radiologues déjà bien occupés des deux côtés, notamment du côté public, j'avais besoin de quelque chose pour les attirer, et la rémunération complémentaire a certainement aidé. Le PIMM nous permet d’adapter la rémunération standard des praticiens. Cela me permet également d'attirer des radiologues plus jeunes qui ne seraient pas éligibles pour des activités libérales. En effet, les praticiens en France ont le droit de pratiquer des activités libérales intrahospitalières, mais cela est accessible principalement aux praticiens plus expérimentés, avec déjà une certaine expérience professionnelle. Avec le PIMM, nous pouvons recruter des assistants post-internat, qui ont besoin d'une rémunération et qui peuvent ainsi bénéficier du principe "travailler plus pour gagner plus".

Dr Morcet : “Dans nos différents établissements, nous avons une volonté de recruter des jeunes confrères. Il est important de veiller à ce que les structures de téléradiologie ne deviennent pas plus attractives pour eux que les activités présentielles. Nous voulons avant tout encourager les nouveaux radiologues à intégrer des structures publiques ou privées, et cette possibilité de pratiquer  en plus  de la téléradiologie au sein d’une coopération Publique/Privée et un atout indéniable d’attractivité

Un commentaire supplémentaire : Nous bénéficions du soutien de la FHF, des URPS MLB et de l’ARS Bretagne. Nous avons des institutions qui nous accompagnent et nous soutiennent.”

 

Du côté de Telemis, le Directeur Général de Telemis France, Monsieur Jean-Baptiste Guillot, exprime sa satisfaction quant à la collaboration avec les établissements de santé pour l'implémentation réussie de TReBREIZH. Il salue le courage des docteurs Morcet et Eugene dans leur vision pour l'avenir de la santé en Bretagne, en s'attaquant avec détermination à la pénurie de radiologues.

 

L'article de SIH Solution ici (FR)